Pour éviter de payer des cérémonies de mariage trop coûteuses ou des dots
exorbitantes, la communauté Peulh autorise le rapt de la future fiancée. Cette
tradition, le goufdé, a depuis dévié et elle est plus souvent proche du mariage
forcé que du mariage d’amour. Premières victimes, les adolescentes. Comment
remettre en cause une pratique établie dans une communauté qui reste très
conservatrice et fière de sa traditon ?